… Une souris peut-elle écrire des messages avec sa patte ?
Non, évidemment !, me direz-vous.
Eh ! Ce n’est pas si sûr !
Lisez donc mon roman « Je suis l’aîné et je ne peux compter sur personne » (édité chez OSKAR) et vous verrez qu’une certaine petite souris a des talents insoupçonnés.
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Voici les ingrédients de cette histoire. On y trouve :
Trois enfants (Aurélien, Bérénice et Corentin) de 11 ans, 7 ans 1/2 et 3 ans, ébranlés par la mort de leur mère (les parents ont divorcé deux ans plus tôt et le père est parti travailler en Afrique, coupant les ponts avec sa famille).
Une grand-mère excentrique, Tatiana (elle refuse qu’on l’appelle « mamie » parce qu’elle trouve que ça fait « vieillarde ») qui n’hésite pas à accueillir chez elle ses trois petits-enfants. Mais elle est tellement généreuse qu’elle passe ses journées à aller aider les gens du quartier en difficulté, oubliant de récupérer les petits à la garderie, de rentrer à temps pour préparer les repas, de faire la lessive, etc., bref, de gérer le quotidien d’une famille.
Une petite souris magique (qui annonce elle-même qu’elle s’appelle Cardamine). Elle est capable :
* d’entrer et sortir de sa cage à sa guise pour mener sa vie.
* d’écrire aux enfants de mystérieux messages avec ses pattes.
* de donner dans ces messages de précieuses instructions pour aider les enfants à se sortir de situations difficiles.
Bizarrement, les messages de cette souris magique exhalent le parfum qu’utilisait la maman. La petite bête serait-elle envoyée par celle-ci, depuis l’au-delà, pour soutenir les enfants désemparés ?
Un ami de la grand-mère, Léon, qui est aussi amoureux d’elle. Il lui apporte des bouquets, et aussi des poèmes d’amour glissés dans de jolies enveloppes. Il est solide, attentif et bienveillant à l’égard des enfants.
Un assortiment de « paumés », bons ou mauvais, qui viennent pimenter et parfois même menacer la vie quotidienne de Tatiana… et donc celle d’Aurélien, Bérénice et Corentin.